Aller au contenu principal
A propos de l’Institut
  • Français
  • English
  • Español

Fil d'Ariane

  1. Accueil
  2. Microbiota 5 - Octobre 2018
  3. Microbiome intestinal et neurodégénérescence
  • Nos publications
    • Actualités
    • Microbiota Mag
    • Pages thématiques
    • Point de vue des experts
    • Dossiers thématiques
    • Synthèses – Microbiota Magazine
  • À propos de l'Institut
    • A propos de l’Institut
    • Observatoire International des Microbiotes
    • Salle de presse
    • Partenariats
  • Congrès
    • Agenda
    • Comptes rendus d’événements
  • Formation Médicale Continue
    • Cours accréditant
  • Documents utiles
    • Les bons mots
    • Infographies
    • Aide mémoire pour diagnostiquer le SII
    • Témoignages patients

    Rejoignez la communauté du microbiote

    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • YouTube
    • Instagram
    • Bluesky

Section grand public

Retrouvez ici votre espace dédié
Gastro-entérologie
Gynécologie
Pédiatrie
Médecine Générale

Fil d'Ariane

  1. Accueil
  2. Microbiota 5 - Octobre 2018
  3. Microbiome intestinal et neurodégénérescence
Gastro-entérologie

Microbiome intestinal et neurodégénérescence

Vieillissement

Synthèse

Par le Pr. John F. Cryan
Département d’anatomie et de Neurosciences, University College Cork, Cork, Irlande

Gastro-entérologie
Gynécologie
Pédiatrie
Médecine Générale
  • Nos publications
    • Actualités
    • Microbiota Mag
    • Pages thématiques
    • Point de vue des experts
    • Dossiers thématiques
    • Synthèses – Microbiota Magazine
  • À propos de l'Institut
    • A propos de l’Institut
    • Observatoire International des Microbiotes
    • Salle de presse
    • Partenariats
  • Congrès
    • Agenda
    • Comptes rendus d’événements
  • Formation Médicale Continue
    • Cours accréditant
  • Documents utiles
    • Les bons mots
    • Infographies
    • Aide mémoire pour diagnostiquer le SII
    • Témoignages patients

    Rejoignez la communauté du microbiote

    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • YouTube
    • Instagram
    • Bluesky

Section grand public

Retrouvez ici votre espace dédié

en_sources_title

en_sources_text_start en_sources_text_end

Partager cet article

Ce sujet pourrait intéresser vos collègues, pourquoi ne pas le partager ?

  • Facebook
  • Twitter
  • LinkedIn
  • Mail

Chapitres

Photo : The gut microbiome and neurodegeneration

A propos de cet article

Auteur

John Cryan Prof. John F. Cryan
Publié le 26 août 2021
Mis à jour le 24 juillet 2024

Au cours des dix dernières années, la recherche portant sur le rôle du microbiote intestinal dans la modulation de l’état de santé et des maladies du cerveau a connu un grand engouement. Bien que la plupart des travaux aient porté sur les troubles liés au stress tels que l’anxiété, la dépression et le syndrome de l’intestin irritable, de plus en plus d’études, en grande partie précliniques, impliquent également le microbiote en tant que modérateur dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. En parallèle, les recherches ont montré que le microbiome joue un rôle essentiel dans les principaux processus cérébraux impliqués dans le développement neurologique, la neuro-inflammation et le vieillissement. Actuellement, elles sont fortement orientées vers une meilleure compréhension des mécanismes précis qui permettent à l’intestin de communiquer avec le cerveau et d’entraîner une augmentation de la susceptibilité aux troubles neurologiques.

En médecine, la neurologie et la microbiologie ont largement évolué en suivant des trajectoires parallèles distinctes, ne se croisant que dans des situations pathologiques, lors d’infections directes du système nerveux central. Cependant, au cours de la dernière décennie, la découverte du fait que le microbiote intestinal (les trillions de bactéries présentes dans l’intestin) joue un rôle clé dans le maintien de l’homéostasie et dans la programmation des principaux systèmes corporels, y compris le cerveau, a constitué une révolution en biomédecine.

De plus en plus de recherches se concentrent sur la compréhension des voies de communication bidirectionnelle entre les bactéries intestinales et le système nerveux central, l’axe microbiote-intestin-cerveau ; cependant, ce domaine n’en est qu’à ses balbutiements [1]. Des modifications du microbiome, de ses métabolites et de son interaction avec l’axe intestin-cerveau sont associées à un large éventail de maladies, y compris à des troubles neurologiques. L’étude du microbiome nécessite des efforts de collaboration étroite entre cliniciens, chercheurs fondamentaux et bio-informaticiens et fonctionne mieux lorsque les barrières des disciplines traditionnelles entre la neurologie, la gastro-entérologie et la microbiologie sont levées.

Dans la recherche préclinique, un certain nombre de modèles expérimentaux se sont révélés essentiels pour évaluer l’effet du microbiome sur le cerveau et le comportement, et ces modèles incluaient l’usage de prébiotiques et probiotiques, l’administration d’antibiotiques, la transplantation fécale et l’utilisation d’animaux dépourvus de germes et gnotobiotiques [1]. Dans la recherche clinique, la plupart des données, en particulier dans le domaine de la neurologie, reposent sur des études transversales du microbiome chez des patients par rapport à des individus sains du même âge.

L’axe microbiote intestin- cerveau : mécanismes de communication

D’importants efforts expérimentaux sont déployés pour essayer de comprendre finement les voies de communication entre l’intestin et le cerveau. Les bactéries intestinales influencent les processus centraux via divers mécanismes (Figure 1). Premièrement, la capacité du microbiote à synthétiser des neurotransmetteurs (i.e.l’acide γ-aminobutyrique [GABA], la noradrénaline et la dopamine) est une voie de communication importante. Deuxièmement, les microbes ont une importance capitale dans l’activation du système immunitaire qui peut jouer un rôle fondamental dans le vieillissement, les troubles neurologiques et la neurodégénérescence. Enfin, les microbes produisent des métabolites, notamment des acides gras à chaîne courte (AGCC), qui sont essentiels à l’intestin, au système immunitaire et, potentiellement, à l’état de santé du cerveau. De plus, le microbiote intestinal et le cerveau sont liés par le nerf vague et par la modulation des principaux acides aminés alimentaires tels que le tryptophane.

Étant donné l’étroite association entre le microbiote intestinal et le cerveau, il n’est pas étonnant que les bactéries intestinales aient un rôle essentiel dans les maladies neurologiques et psychiatriques. Les données les plus probantes confirmant un rôle du microbiome dans la fonction cérébrale proviennent de souris dépourvues de germes. Les études menées par un certain nombre de groupes de recherche au Canada, en Suède et en Irlande ont montré que, chez les animaux dépourvus de germes, le cerveau ne se développe pas normalement en l’absence de microbiome intestinal [2]. En outre, il a également été montré que des processus cérébraux fondamentaux tels que la myélinisation, la neurogenèse chez l’adulte et l’activation de la microglie dépendent fortement de la composition du microbiote.

Image

Microbiote et vieillissement

La relation entre le microbiome et le vieillissement du cerveau suscite également beaucoup d’attention, ce qui présente un intérêt particulier dans le domaine de la neurologie car de nombreux troubles neurologiques et neurodégénératifs surviennent à un âge avancé. Une fois de plus, l’idée de relier le microbiome au vieillissement sain n’est pas nouvelle ; elle a été soutenue il y a plus de 100 ans par un immunologiste ayant reçu un prix Nobel, Elie Metchnikoff. Celui-ci a observé que les villageois vivant dans une région de la Bulgarie avaient une vie exceptionnellement longue, un fait qu’il a attribué à la présence de bactéries produisant de l’acide lactique dans leur alimentation. Nous avons récemment revisité l’étude initiale menée par Metchnikoff [3] et montré que les déficits comportementaux chez les animaux âgés coïncident avec des modifications du microbiome. De plus, l’étude ELDERMET a montré que la composition des bactéries intestinales chez les personnes âgées était corrélée avec leur état de santé général, leur fragilité et avec leur système immunitaire [4]. Un microbiome riche est le signe d’une meilleure santé. Ces investigateurs sont allés encore plus loin pour étudier ce qui induit un tel microbiome et ils ont montré qu’il s’agissait d’une alimentation variée. Lorsque les gens mangent des aliments fades transformés (souvent dans des maisons de retraite), la diversité de leurs microbiomes est réduite, tandis que ceux ayant une alimentation riche en fruits et en légumes ont de meilleurs résultats [4].

Une diminution de la diversité microbienne est associée à une augmentation concomitante de l’activation microgliale qui est corrélée avec des différences de masse cérébrale chez la souris. Cela contribue à une réponse inflammatoire associée à l’âge appelée “inflammaging”, qui à son tour a été associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer (MA) et la maladie de Parkinson (MP). Par ailleurs, il a été montré que le microbiome régule l’activation de la microglie ; mais également que des cerveaux de souris dépourvues de germes exprimaient une microglie défectueuse, partiellement rétablie après restauration de la communauté microbienne à des taux contrôles [5].

Maladie de parkinson (MP)

On est en train de se rendre compte que la MP pourrait en fait provenir de l’intestin [6]. En effet, l’α-synucléine, l’agrégat de protéines caractéristique de la MP dans le cerveau, a également été identifiée dans les fibres nerveuses de la sous-muqueuse et de la muqueuse et dans les ganglions de patients parkinsoniens. Des données précliniques suggèrent même que l’α-synucléine présente dans l’intestin peut être transportée au cerveau par le nerf vague. En outre, des symptômes intestinaux fonctionnels tels que la constipation sont souvent des symptômes prodromiques se produisant des années avant l’apparition des symptômes moteurs.

Depuis que Scheperjans et al. ont montré pour la première fois qu’il existait des altérations spécifiques de la composition du microbiome dans la MP [7], bien d’autres études ont été menées [8]. Cependant, à ce jour, il n’y a pas de consensus concernant l’existence d’une signature microbienne spécifique. Lorsque des souris ont été colonisées par le microbiote de patients atteints de la MP via une transplantation de microbiote fécal, elles ont développé des déficits moteurs et une neuro-inflammation, deux symptômes caractéristiques de la MP [9]. De plus, les symptômes se sont améliorés lorsque les souris ont été traitées par des antibiotiques. Ces études ont impliqué des acides gras à chaîne courte pour activer les processus neuro-inflammatoires dans la MP [9].

Le nerf vague est particulièrement bien placé pour conduire des signaux provenant de l’intestin vers le cerveau, soit d’origine bactérienne, soit via une translocation, similaire à celle du prion, de l’α-synucléine. En effet, des études épidémiologiques basées sur des registres de patients danois et suédois ont montré qu’une vagotomie tronculaire protège de la MP. Malgré un fort enthousiasme dans ce domaine, la prudence reste de mise lors de l’examen des données disponibles car elles sont en grande partie issues de petites cohortes et elles n’ont pas de perspective longitudinale. De nombreuses autres études mécanistiques sont nécessaires pour comprendre comment les modifications du microbiote peuvent modérer les symptômes moteurs et non moteurs de la MP et de ses comorbidités [10].

Maladie d’alzheimer (MA)

Le concept selon lequel les microbes peuvent jouer un rôle dans la physiopathologie de la MA n’est pas nouveau et l’idée que l’amyloïde, dont l’agrégation est une des principales caractéristiques de la MA, pourrait agir comme peptide antimicrobien dans le cerveau est un concept fascinant [11]. Cependant, selon le postulat de Koch, il est éthiquement difficile de prouver s’il existe une cause infectieuse de neuro-inflammation et de neurodégénérescence. Comme dans la MP, la relation entre les protéines intestinales et l’état de santé du cerveau fait l’objet d’une attention particulière. Il a été découvert que des protéines de type amyloïde produites par des bactéries pourraient augmenter les maladies associées à l’α-synucléine [12]. D’autres travaux sont nécessaires pour valider ces stratégies chez l’homme.

Récemment, des études transversales ont identifié que les taxons bactériens d’Escherichia/Shigella, qui sont associés à la médiation de l’inflammation, étaient augmentés dans les échantillons de selles de patients atteints de la MA par rapport aux sujets contrôles. En outre, les modifications du microbiote étaient corrélées avec les taux de cytokines pro-inflammatoires dans le sang [13]. Ces résultats suggèrent une relation causale entre la dysbiose du microbiote intestinal et l’inflammation systémique, qui peut initier ou exacerber la neurodégénérescence cérébrale dans la MA. Cependant, ces études sont encore relativement modestes et beaucoup d’autres recherches sont nécessaires sur de grandes cohortes pour évaluer la relation causale entre le microbiome intestinal et la MA.

En parallèle, il a été montré qu’un certain nombre de modèles de MA chez des souris transgéniques présentaient un microbiome altéré [14]. Des études pionnières menées chez des souris dépourvues de germes ont mis en évidence une absence marquée d’accumulation de plaques amyloïdes et de neuro-inflammation [14]. De même, le traitement chronique des souris transgéniques APP/PS1 par un cocktail d’antibiotiques réduisait l’accumulation de microglie et d’astrocytes entourant les plaques amyloïdes dans l’hippocampe et entraînait une diminution des plaques amyloïdes insolubles [15]. Toutes ces études montrent clairement que le microbiome régule les composants moléculaires clés de la MA.

Perspectives d’avenir

Il est clair que le microbiome est d’une importance cruciale pour le développement et le maintien appropriés de la fonction cérébrale. Par ailleurs, comme indiqué ci-dessus, de nombreuses données issues d’études précliniques et cliniques impliquent le microbiome dans un spectre de maladies neurologiques et neurodégénératives. Compte tenu des effets marqués du microbiote dans la régulation de la fonction cérébrale, il est plausible que sa composition affecte la progression, la susceptibilité et le traitement de presque tous les troubles neurologiques. Néanmoins, nos connaissances concernant le rôle du microbiome dans d’autres maladies neurodégénératives telles que la sclérose latérale amyotrophique ou la maladie de Huntington présentent des lacunes importantes, et il faut rester prudent afin de ne pas surinterpréter ces études. Le domaine doit s’éloigner des études corrélatives pour adopter des approches causales mécanistiques. De plus, davantage d’études interventionnelles utilisant des souches probiotiques et des prébiotiques sont nécessaires ; les transplantations de microbiote fécal pourraient même être importantes dans ce domaine. Il est possible que des approches similaires puissent cibler des troubles différents ; par exemple, la modulation de la signalisation des lymphocytes T dans le cerveau peut être utile pour atténuer l’état neuro- inflammatoire chez les patients après un accident vasculaire cérébral, de même que chez les patients atteints de la MA et au cours du vieillissement.

En ce qui concerne la neurologie clinique, de nombreux patients sont polymédicamentés et la relation entre le microbiome et l’action des médicaments est de mieux en mieux comprise. Ainsi, toutes les études devraient viser à faire la différence entre l’impact des médicaments et celui de la maladie sur le microbiome. En outre, des études temporelles menées chez des individus présymptomatiques seront importantes pour déterminer le rôle potentiel du microbiome en tant que biomarqueur de la maladie.

Conclusion

L’alimentation est peut-être l’un des plus importants facteurs influençant le microbiome. Comme de nombreux troubles neurologiques affectent l’appétit, la déglutition et l’alimentation en général, il est essentiel d’avoir des données nutritionnelles de bonne qualité pour toutes les études menées chez l’homme à l’avenir. Par ailleurs, cela permettra de mieux comprendre la relation entre l’alimentation, le microbiome et le cerveau, qui est essentielle dès le début de la vie et à mesure que nous vieillissons.

Sources

1 Cryan JF, Dinan TG. Mind-altering microorganisms: the impact of the gut microbiota on brain and behaviour. Nat Rev Neurosci 2012 ; 13 : 701-12.

2 Luczynski P, McVey Neufeld KA, Oriach CS, et al. Growing up in a Bubble: Using Germ-Free Animals to Assess the Influence of the Gut Microbiota on Brain and Behavior. Int J Neuropsychopharmacol 2016 ; 19.

3 Scott KA, Ida M, Peterson VL, et al. Revisiting Metchnikoff: Age-related alterations in microbiota-gut-brain axis in the mouse. Brain Behav Immun 2017 ; 65 : 20-32.

4 Claesson MJ, Jeffery IB, Conde S, et al. Gut microbiota composition correlates with diet and health in the elderly. Nature 2012 ; 488 : 178-84.

5 Erny D, Hrabe de Angelis AL, Jaitin D, et al. Host microbiota constantly control maturation and function of microglia in the CNS. Nature Neurosci 2015 ; 18 : 965-77.

6 Braak H, de Vos RA, Bohl J, et al. Gastric alpha-synuclein immunoreactive inclusions in Meissner’s and Auerbach’s plexuses in cases staged for Parkinson’s disease-related brain pathology. Neurosci Lett 2006 ; 396 : 67-72.

7 Scheperjans F, Aho V, Pereira PA, et al. Gut microbiota are related to Parkinson’s disease and clinical phenotype. Mov Disord 2015 ; 30 : 350-8.

8 Keshavarzian A, Green SJ, Engen PA, et al. Colonic bacterial composition in Parkinson’s disease. Mov Disord 2015 ; 30 : 1351-60.

9 Sampson TR, Debelius JW, Thron T, et al. Gut Microbiota Regulate Motor Deficits and Neuroinflammation in a Model of Parkinson’s Disease. Cell 2016 ; 167 : 1469-80 e12.

10 Lionnet A, Leclair-Visonneau L, Neunlist M, et al. Does Parkinson’s disease start in the gut? Acta Neuropathol 2018 ; 135 : 1-12.

11 Itzhaki RF, Lathe R, Balin BJ, et al. Microbes and Alzheimer’s Disease. J Alzheimers Dis 2016 ; 51 : 979-84.

12 Friedland RP. Mechanisms of molecular mimicry involving the microbiota in neurodegeneration. J Alzheimers Dis 2015 ; 45 : 349-62.

13 Cattaneo A, Cattane N, Galluzzi S, et al. Association of brain amyloidosis with pro-inflammatory gut bacterial taxa and peripheral inflammation markers in cognitively impaired elderly. Neurobiol Aging 2017 ; 49 : 60-8.

14 Harach T, Marungruang N, Duthilleul N, et al. Reduction of Abeta amyloid pathology in APPPS1 transgenic mice in the absence of gut microbiota. Sci Rep 2017 ; 7 : 41802.

15 Minter MR, Zhang C, Leone V, et al. Antibiotic-induced perturbations in gut microbial diversity influences neuro-inflammation and amyloidosis in a murine model of Alzheimer’s disease. Sci Rep 2016 ; 6 : 30028.

Tags
Gastroentérologie Axe intestin-cerveau Síntesis Microbiome Flore
    Dossier
    Microbiota 5 - Octobre 2018
    • Synthèse
      • Microbiome intestinal et neurodégénérescence
    • Articles commentés
      • Le tréhalose alimentaire augmente la virulence du Clostridium difficile épidémique
      • Profils du microbiote intestinal d’enfants non traités pour troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité
    • Retour de congrès
      • Retour sur la 51e réunion annuelle espghan
      • 3e réunion de la FNM sur la motilité gastro-intestinale
    • Revue de presse
      • Interactions entre microbiote et médicaments (hors antibiotiques) : de quoi être amis ou ennemis ?
      • Microbiote et mucoviscidose
    Publié le 26 août 2021
    Mis à jour le 24 juillet 2024

    A propos de cet article

    Ce contenu fait référence à plusieurs sujets clés. Découvrez-les ci-dessous :

    Sujet principal

    Vieillissement

    Type de contenu

    Article

    Auteur

    John Cryan Prof. John F. Cryan
    Microbiota 5 - Octobre 2018
    Le tréhalose alimentaire augmente la virulence du Clostridium difficile épidémique
    Dossier

    Microbiota 5 - Octobre 2018

    Synthèse

    Microbiome intestinal et neurodégénérescence

    Articles commentés

    Le tréhalose alimentaire augmente la virulence du Clostridium difficile épidémique Profils du microbiote intestinal d’enfants non traités pour troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité

    Retour de congrès

    Retour sur la 51e réunion annuelle espghan 3e réunion de la FNM sur la motilité gastro-intestinale

    Revue de presse

    Interactions entre microbiote et médicaments (hors antibiotiques) : de quoi être amis ou ennemis ? Microbiote et mucoviscidose
    Gastro-entérologie
    30/10/2023

    Transplantation fécale : optimiser le traitement du SII

    Lire l'article
    Actu PRO : Alcoolisme : expliquer les troubles sociaux grâce au microbiote
    27/01/2021

    Alcoolisme : expliquer les troubles sociaux grâce au microbiote

    Lire l'article

    Microbiote intestinal et métabolisme des médicaments

    Synthèse Par le Pr. Emily P. Balskus Département de Chimie et de Biologie chimique, Université de Ha...

    En savoir plus

    Une dysbiose fongique liée à l’environnement ?

    Largement moins étudiée que la fraction bactérienne du microbiote intestinal, la part fongique, ou my...

    En savoir plus
    23/04/2025

    Sensibilité à l’additif E466 : le rôle du microbiote

    Lire l'article
    Photo HCPs: Clinical context over quick fix: the fresh consensus on microbiome testing
    14/04/2025

    Nouveau consensus autour des tests du microbiote : au lieu d’opter pour une solution de fortune, prendre en compte le contexte clinique

    Lire l'article
    28/11/2023

    Le transfert de microbiote vaginal est-il le remède miracle pour les bébés nés par césarienne ?

    Lire l'article

    Votre aide mémoire pour diagnostiquer le SII

    Combien de patients souffrant de troubles intestinaux recevez-vous par semaine en consultation ? Chez...

    En savoir plus
    • Nos publications
      • Actualités
      • Microbiota Mag
      • Pages thématiques
      • Point de vue des experts
      • Dossiers thématiques
      • Synthèses – Microbiota Magazine
    • À propos de l'Institut
      • A propos de l’Institut
      • Observatoire International des Microbiotes
      • Salle de presse
      • Partenariats
    • Congrès
      • Agenda
      • Comptes rendus d’événements
    • Formation Médicale Continue
      • Cours accréditant
    • Documents utiles
      • Les bons mots
      • Infographies
      • Aide mémoire pour diagnostiquer le SII
      • Témoignages patients

      Rejoignez la communauté du microbiote

      • Facebook
      • Twitter
      • LinkedIn
      • YouTube
      • Instagram
      • Bluesky

    Section grand public

    Retrouvez ici votre espace dédié
    Gastro-entérologie
    Gynécologie
    Pédiatrie
    Médecine Générale
    • Français
    • English
    • Español

    Naviguer dans le site

    • Nos publications
      • Actualités
      • Microbiota Mag
      • Pages thématiques
      • Point de vue des experts
      • Dossiers thématiques
      • Synthèses – Microbiota Magazine
    • À propos de l'Institut
      • A propos de l’Institut
      • Observatoire International des Microbiotes
      • Salle de presse
      • Partenariats
    • Congrès
      • Agenda
      • Comptes rendus d’événements
    • Formation Médicale Continue
      • Cours accréditant
    • Documents utiles
      • Les bons mots
      • Infographies
      • Aide mémoire pour diagnostiquer le SII
      • Témoignages patients

      Rejoignez la communauté du microbiote

      • Facebook
      • Twitter
      • LinkedIn
      • YouTube
      • Instagram
      • Bluesky

    Section grand public

    Retrouvez ici votre espace dédié

    Découvrir

    Gastro-entérologie
    Gynécologie
    Pédiatrie
    Médecine Générale

    Rejoignez la communauté du microbiote

    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • YouTube
    • Instagram
    • Bluesky

    Section grand public

    Retrouvez ici votre espace dédié

    Redirection

    Vous êtes sur le point d'être redirigé et de quitter notre site web

    • Être redirigé
    • Rester sur le site Web du Biocodex Microbiota Institute

    Ne partez pas si vite !

    Rejoignez la communauté Microbiota des professionnels de santé et des chercheurs et recevez le "Microbiota Digest" et le "Microbiota Mag" pour rester au courant des dernières actualités sur le microbiote.

    * Champs obligatoires

    BMI 20-35

    Découvrir

    23/04/2025

    Sensibilité à l’additif E466 : le rôle du microbiote

    Lire l'article
    Photo HCPs: Clinical context over quick fix: the fresh consensus on microbiome testing
    14/04/2025

    Nouveau consensus autour des tests du microbiote : au lieu d’opter pour une solution de fortune, prendre en compte le contexte clinique

    Lire l'article
    09/04/2025

    A chaque type d’infertilité sa dysbiose vaginale ?

    Lire l'article

    Se tenir informé

    Rejoignez la communauté Microbiota des professionnels de santé et des chercheurs et recevez le "Microbiota Digest" et le "Microbiota Mag" pour rester au courant des dernières actualités sur le microbiote.

    * Champs obligatoires

    BMI 20-35

    • Nos publications
      • Actualités
      • Microbiota Mag
      • Pages thématiques
      • Point de vue des experts
      • Dossiers thématiques
      • Synthèses – Microbiota Magazine
    • À propos de l'Institut
      • A propos de l’Institut
      • Observatoire International des Microbiotes
      • Salle de presse
      • Partenariats
    • Congrès
      • Agenda
      • Comptes rendus d’événements
    • Formation Médicale Continue
      • Cours accréditant
    • Documents utiles
      • Les bons mots
      • Infographies
      • Aide mémoire pour diagnostiquer le SII
      • Témoignages patients

      Rejoignez la communauté du microbiote

      • Facebook
      • Twitter
      • LinkedIn
      • YouTube
      • Instagram
      • Bluesky

    Section grand public

    Retrouvez ici votre espace dédié

    Découvrir

    Gastro-entérologie
    Gynécologie
    Pédiatrie
    Médecine Générale

    Section grand public

    Retrouvez ici votre espace dédié

    Rejoignez la communauté du microbiote

    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • YouTube
    • Instagram
    • Bluesky

    © 2025 Biocodex. Tous droits réservés.

    • Mentions légales
    • CGU
    • Protection des données
    • Plan de site
    • Gestion des cookies
    • Accessibilité numérique : partiellement conforme
    Biocodex logo